un café –corsé de JMF

« Ah Ah! Qu’entendions-nous ce matin alors que nous partagions un café –corsé- durant notre revue de presse quotidienne partagée dans notre alcôve pourpre et parfumée mon épouse et moi? mais si, vous savez ce moment si instructif et toujours merveilleux qui nous permet sans surprise de nous pavano-extasier au-devant des plus belles preuves d’éthique et d’humanisme des gens qui confondent pouvoir et savoir, cynisme et humanisme… Et alors donc ? Qu’entendons-nous? Nous entendons la preuve que nous dérangeons. La preuve ultime que notre combat n’est pas vain. Merci. Ça porte un nom, ce que nous entendons, pas joli, mais répandu, comme son nom l’indique: La Rumeur. Donc, une rumeur court, contre nous, dans son short sale, avec ses petites jambes diaphanes, pourtant exhibitionnistes et si malingres de ne jamais avoir eu le courage de l’ascension des sommets par le seul muscle de la conviction. (Ah ben oui, les lâches malins choisissent les forts idiots pour s’accoupler, CQFD) La rumeur est une arme de pervers. Dans toute sa splendeur, sa spLenteur, sa spLaideur. La force de la rumeur, réside aussi dans l’addi©tion de toutes les conneries des gens qui l’entendent, la reçoivent, et surtout la croient. La rumeur qui s’étend, c’est le soap « les feux de l’amour » qui tient 20 ans sur TF1, pour les pénibles cerveaux disponibles. Rumeur rime avec « malheur ». Pas avec « Honneur ». Vos deux serviteurs (cherchez la rime), car nous le sommes, (et oui, il faut imaginer que la vie des gens qui portent haut et fort les messages de sauvegarde et de respect de l’éthique n’est pas facile!), serions donc « accusés » et « condamnés » sur la place publique? Ah oui ? Ah oui, nous avons souhaité protéger un enfant d’un bourreau… Elle n’a pas pardonné, pensez donc… Allez faire comprendre à un psychotique sans symptômes qu’il l’est. Bon courage. Et méfiez-vous du talent de ces malades pour utiliser la justice, c’est quasi-bluffant. Ah, au fait, trouveriez-vous surprenant que des gens qui défendent aujourd’hui les couleurs des victimes de violences psychologiques ne soient pas elles-mêmes des victimes de bourreaux ? Des victimes de gens sans scrupules qui font tout pour détruire l’autre, et surtout quand ils ne l’ont plus ? Et bien oui. Nous sommes évidemment aussi passé par l’indicible. Durant trop longtemps. Il a bien fallu l’ériger, ce réservoir de carburant pour l’injecter sous forme de conscience et de conviction dans le moteur du combat contre les gens mauvais et sans scrupules qui vous laminent, et vous poussent au suicide dans les pires cas. Et la visibilité que mon épouse, et nous ensemble depuis un an, avons aujourd’hui atteinte dans notre message (France- Europe – Monde) les rend FOUS. Les démasque. Il serait si simple de diffuser ce que nous avons pour anéantir nos bourreaux… Et bien non, nous ne le faisons pas. Elle ne passera pas par nous, la rumeur. C’est l’éthique, justement, qui fait que jamais une victime n’est capable d’utiliser des armes aussi basses que son bourreau. Les véritables victimes se reconnaîtront ici. Les vrais bourreaux aussi. Enfin bref, Sachez que les gens qui veulent notre peau sont des petites choses avec des grandes bouches, et que la seule chance pour eux de se sentir fort, c’est la connerie des autres. »

Clyde défendant sa Bonnie ….